"Ce sera impossible !" Brigitte Bardot dévoile sa dernière volonté et elle ne sera sûrement pas respectée

Éternelle BB, Brigitte Bardot fêtera dans quelques mois son 90ème anniversaire. Pour "Paris Match", l'actrice du film "Et Dieu créa la femme" a révélé quelles étaient ses dernières volontés, l'une d'entre elles pourrait d'ailleurs créer un scandale et ne pas être respectée...

À l'aube de son 90ème anniversaire célébré le 29 septembre 2024, Brigitte Bardot a fait de précieuses confidences aux journalistes de Paris Match. Évoquant avec beaucoup de pragmatisme et de sagesse sa fin de vie, elle a ainsi révélé l'une de ses dernières volontés qui pourrait malheureusement ne pas être respectée.

Son souhait ? Reposer pour l'éternité à Saint-Tropez et plus particulièrement à La Madrague où elle vit depuis de nombreuses années. "Tu as obtenu la rare autorisation de reposer pour l'éternité chez toi à La Madrague, as-tu choisi l'endroit précis ?"lui demandaient nos confrères. Elle répond :"Je crois que ce sera impossible ! Je ne veux pas créer de scandale et je me plierai aux exigences légales".

L'autre de ses souhaits qu'elle rêve de voir exaucé est également que sa fondation pour le bien-être des animaux - fondée en 1986 - poursuive ses combats après sa mort. Au moment de créer cette association, l'actrice réputée pour sa beauté décide de se battre contre la souffrance animale avec une conviction : "sauver, protéger, aimer les animaux". Un long parcours au cours duquel l'ancienne muse de Serge Gainsbourg a dû vaincre de nombreux obstacles.

Brigitte Bardot, déterminée à faire survivre sa fondation pour les animaux

Elle raconte : "C'était au tout début, je ne connaissais rien du côté administratif, qui est si difficile, et j'ai commencé avec une secrétaire, un Minitel et mon coeur. J'allais sur le marché de Saint-Tropez vendre tous mes souvenirs de voyages au Brésil, au Mexique, des photos dédicacées... Tout un tas de trucs pour avoir un peu d'argent pour sauver les quelques animaux que je ramassais sur mon chemin".

Trente six ans plus tard, cette fondation est présente dans près de 70 pays. "Ma fondation, c'est mon bébé, elle est solide et je fais tout pour qu'elle me survive. Mais que va devenir le monde? Les conjonctures actuelles sont très sombres et j'ai peur d'un chamboulement grave d'ici peu de temps. Alors qui vivra, verra !" a-t-elle conclu avec inquiétude.