Plus belle la vie en avance : ce qui vous attend dans l'épisode 74 du jeudi 18 avril 2024 [SPOILERS]

Plus belle la vie en avance : ce qui vous attend dans l’épisode 74 du jeudi 18 avril 2024 [SPOILERS]

Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l’épisode de Plus belle la vie, encore plus belle diffusé jeudi après-midi sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !

Jeudi 18 avril dans Plus belle la vie, encore plus belle…

Jules devancé par Apolline

Jules se rend au Mistral pour montrer à Barbara les dizaines de témoignages qu’il a recueillis des parents des enfants auparavant inscrits dans la crèche. La maman de Yaël lui donne son jeu vert pour les publier dans le journal. Elle le remercie d’avoir mené son enquête, et l’informe qu’elle va créer un projet de crèche parentale.

Ce n’est pas tout, Barbara lui annonce également qu’Apolline est à la tête d’un collectif destiné à attaquer “One By One”. Jules tombe des nues, car il n’était pas au courant qu’Apolline avait pris possession de son affaire.

De retour à la résidence, Jules informe Morgane du coup de poignard dans le dos d’Apolline. La jeune femme est énervée contre l’étudiante en droit, parce qu’elle s’est servie de son petit ami pour obtenir ce qu’elle désirait : un stage au sein du cabinet d’Ulysse Kepler.

De son côté, Jules n’est pas fâché, au contraire, il trouve qu’Apolline a eu raison de profiter de l’occasion. De plus, cela pourrait bien l’aider à se faire un nom dans le journalisme, comme il le confie à Morgane : “Plus cette histoire prend de l’ampleur, mieux c’est pour moi”. Justement, il reçoit un SMS du journal gratuit lui demandant un rendez-vous.

Ophélie affronte son agoraphobie

À la résidence Massalia, Aya informe Mattéo qu’Ophélie est agoraphobe et qu’elle ne peut donc pas quitter son domicile. C’est la raison pour laquelle elle décline à chaque fois ses invitations à boire un verre à l’extérieur. Mattéo est vexé qu’Ophélie ne lui a pas avoué la vérité plus tôt.

Plus tard dans la journée, Aya déjeune avec Ophélie. Elle lui avoue avoir révélé sa phobie sociale à Mattéo et qu’il l’a mal pris. Ophélie s’en veut d’avoir tout gâché, elle déclare à son amie : “Avec lui, j’avais presque oublié mon agoraphobie”.

Plus tard dans la journée, Ophélie tente le tout pour tout dans l’espoir de reconquérir Mattéo. Elle monte dans le premier taxi et se rend à la résidence. À son arrivée au Mistral, elle est prise d’une crise d’angoisse. Mattéo court à son secours. Il lui montre comment apaiser sa respiration, et ça fonctionne. Elle parvient à retrouver son calme.

Ophélie en profite pour lui présenter ses excuses et lui dit qu’elle avait peur de le perdre si elle lui avouait la vérité. Il la remercie d’avoir surpassé sa peur en venant jusqu’ici. Il lui propose de venir visiter la résidence, mais Ophélie répond : “Une prochaine fois”. Il la raccompagne jusqu’à chez elle.

Les policiers passent à l’action

À la salle de sport, l’heure est au grand déménagement. Yannick Véron charge la fourgonnette de produits stupéfiants, sous la direction de José Pasquier, tandis qu’Alexandra s’occupe des ordinateurs et autres preuves pouvait les incriminer. Alors qu’ils s’apprêtent à prendre la fuite, la police arrive pour les arrêter.

De retour au commissariat, Jean-Paul est chargé d’interroger José Pasquier et Meïline s’occupe d’Alexandra. Jean-Paul demande à José s’il se souvient de Louise Raveneau et Simon Letellier, mais ce dernier nie connaître ces deux jeunes victimes.

Malheureusement, l’interrogatoire des deux suspects n’a rien donné, ni du côté de Jean-Paul, ni celui de Meïline. Jean-Paul a une idée pour les faire parler : faire croire à Fred Latour que tout le monde le lâche. Ce plan va-t-il fonctionner ?

Jean-Paul et Meïline interrogent aussitôt Fred Latour. Ce dernier leur dit qu’il considère tous les gens de la salle comme sa propre famille. Soudain, les deux policiers lui font croire que ces gens si chers à son cœur ont décidé de lui faire porter le chapeau. Il répond : “J’ai caché un truc qui pourrait me sauver si jamais on m’accuse à tort”.

Suite à cette révélation, Jean-Paul se rend dans les vestiaires de la salle de sport afin de mettre la main sur la preuve cachée par Fred Latour. Il s’agit du bracelet appartenant à Louise, celui qu’elle devait porter 24h/24 pour indiquer son allergie à la pénicilline. C’est donc la preuve que l’un des membres de la salle de sport est responsable du meurtre de la jeune femme.