Portraits d'autochtones en lutte pour leur peuple

Au-delà de leurs différences de langue et de coutumes, Les peuples autochtones de l’arctique sont en butte à des problématiques semblables. Portraits de figures fortes qui lèvent la voix pour porter leurs combats.

Des milliers de kilomètres de toundra et de ­banquise les séparent, mais leurs conditions se ressemblent. Les peuples autochtones du Grand Nord ont subi la colonisation, la confiscation de leurs terres et l’exploitation des ressources naturelles sur celles-ci… Une cruelle ironie en fait aujourd’hui les premières victimes du réchauffement ­climatique.

Au Groenland, au Canada, en Alaska, en Scandinavie et en Russie, les Inuits, Samis et autres peuples autochtones sont les occupants ancestraux de ces étendues quasi désertes, où les ­frontières officielles ne font guère partie de l’histoire.

Souvent isolées, ne comptant que peu de membres, ces communautés se heurtent aux injonctions à s’adapter. En Norvège, par exemple, l’élevage des rennes est réservé aux Samis, mais cette pratique, pilier de leur culture, n’occupe plus que 10 % d’entre eux. Et le gouvernement, au nom de la préservation du couvert végétal, impose des quotas qui, selon certains éleveurs et associations, compromettent la filière.

En Alaska comme en Sibérie, le dégel rend accessible certains sous-sols, ce qui aiguise les appétits des compagnies minières. Au Groenland et au Canada, les conditions de chasse et de pêche sur glace sont de plus en plus périlleuses pour les Inuits.

“Le droit au froid”

Quelques voix ont émergé pour dire l’urgence à écouter les peuples du Grand Nord. Parmi elles, Sheila Watt-Cloutier, Inuit du Nunavik (Canada) revendique le “droit au froid”. Une notion presque simpliste pour un problème aussi compliqué qu’universel, mais elle le répète :

L’Arctique est le baromètre de la planète.

Le dérèglement dans cette région provoque à l’échelle mondiale la montée des eaux et l’augmentation des catastrophes climatiques. Si les premières victimes sont les communautés polaires, cela n’est, selon Sheila Watt-Cloutier, qu’un signe précurseur de ce qui attend le reste du monde.

Mère et fille, deux modèles des fiertés autochtones

  • Jody Potts-joseph et Quannah Chasinghorse
  • Peuple : Hän Gwich’in
  • Nationalité : américaine

portraits d'autochtones en lutte pour leur peuple
Les deux femmes sont allées au Congrès, à Washington, pour protester contre de nouveaux projets d’exploitation minière sur leurs terres ancestrales. Keri Oberly

Leurs visages disent tout de suite qui elles sont et d’où elles viennent. Et rien que cela constitue une revanche sur le passé. Jody, la mère, 42 ans, et Quannah, la fille, 21 ans, portent le Yidiiltoo  : trois lignes distinctes sur le menton, auxquelles s’ajoutent quelques traits au coin des yeux. Ce tatouage facial est la marque des Hän Gwich’in, “les gens de la rivière” (en l’espèce le fleuve Yukon), l’une des plus importantes communautés des Premières Nations d’Alaska.

“Il s’agit d’un symbole de force et de résilience, le porter de nos jours est un rappel de la façon dont nos ancêtres durent se battre pour que nous soyons encore là”, affirme Jody. Selon les anthropologues, ces tatouages tribaux existent depuis au moins dix mille ans. On les apposait jadis lors d’une cérémonie qui avait lieu aux premières règles de la jeune fille pour marquer son entrée dans le monde des femmes. Arrivés dans cet antipode nord-américain au XIXe siècle, colons et missionnaires en eurent peur, au point de les interdire. Tout comme l’ensemble des rites indigènes.

“Ces tatouages sont une partie de notre guérison”, insiste Jody qui, en plus de ses activités de guide nature et de tatoueuse, est devenue une star depuis qu’elle a participé à un documentaire en 2022 (Alaska : Premières Nations) sur la vie quotidienne des treize tribus amérindiennes de l’Alaska. À Eagle, hameau perdu à l’ouest de Fairbanks, elle vit en famille au plus proche des éléments, pêche le saumon, chasse le caribou, récolte plantes médicinales et baies sauvages.

De son côté, sa fille, Quannah, est la plus célèbre mannequin autochtone d’Amérique. De son père, originaire du Dakota du Sud, elle possède des racines Lakota Sioux, ceux du clan des Brûlés (ou Sichangu). Regard de guerrière et cheveux de jais, l’égérie au visage tatoué défile sur les podiums lors des fashion weeks.

Une notoriété dont elle se sert pour faire avancer la cause des Premières Nations. Notamment en ce qui concerne la sanctuarisation de certaines zones de l’Alaska, alors que les projets pétroliers et gaziers menacent les territoires ancestraux des treize tribus encore présentes. La mère et la fille sont aussi de toutes les mobilisations pour réclamer justice dans les affaires de femmes amérindiennes disparues ou assassinées – des milliers de cas aux États-Unis et au Canada depuis des décennies, sans que les enquêtes -policières ne soient sérieusement poursuivies. Pour faire entendre les voix de ces femmes qu’on a fait taire.

Un éleveur Sami têtu face aux diktats administratifs

  • Jovsset Ánte Sara
  • Peuple : Sami
  • Nationalité : norvégienne

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Depuis qu’il a 21 ans, Jovsset Ánte Sara milite pour que les Samis de Norvège comme lui puissent élever le nombre de rennes qu’ils souhaitent. Jan Helmer Olsen

Voilà une décennie que ce garçon au visage poupon de 31 ans s’obstine. Son combat ? Pouvoir décider de la taille de son cheptel, comme l’ont toujours fait ses ancêtres. Sa bataille débute en 2013, alors qu’il vient de se lancer sur les traces de son grand-père en devenant éleveur de rennes. Grâce aux aides de l’État, il a constitué un troupeau de 116 têtes. Mais, par un matin de mars, l’administration lui ordonne de n’en garder que 75. S’appuyant sur une loi de 2007, ces quotas soudain réactivés sont supposés garantir une renniculture durable. Plus de 200 éleveurs samis reçoivent la même injonction.

Le jeune homme prend la tête de la contestation. Faisant valoir qu’un élevage réduit n’est pas viable, et que cette décision signifie la mort de la filière, il remporte un premier procès contre l’État norvégien en 2016, puis un second en appel. Mais, en 2017, devant la Cour suprême du pays, c’est la douche froide : il est condamné à exécuter 41 bêtes. Ce qu’il refuse. L’affaire est devant le Conseil des droits de l’homme des Nations unies.

L’entêté est devenu un symbole de la lutte des Samis pour préserver leurs usages pastoraux et les terres qui vont avec. Un collectif parraine son troupeau, finançant les amendes et compensant la fin des subventions. Le dernier coup d’éclat remonte à la Biennale de Venise, en 2022, quand sa sœur, Máret Ánne Sara, artiste samie réputée, a posé au cœur du pavillon nordique une installation mêlant peaux, crânes et bois de rennes afin de dénoncer la “norvégianisation forcée” de l’un des derniers peuples autochtones d’Europe.

Pour Jovsset, dont le constat est défendu par de nombreuses associations comme Norges Naturvernforbund (la plus importante et la plus ancienne organisation environnementale norvégienne) :

L’impact de la surpopulation des rennes sur la toundra est un mythe entretenu par Oslo depuis plus d’un siècle pour presser les éleveurs d’abandonner des terrains convoités par les compagnies minières, pétrolières et gazières ou encore pour favoriser le développement du tourisme et l’implantation de champs d’éoliennes.

Son rap dit la fierté d’être un kalak, “un sale Groenlandais”

  • Josef Tarrak-Petrussen
  • Peuple : Inuit
  • Nationalité : danoise

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Le jeune rappeur s’est fait tatouer sur le torse une vieille insulte coloniale devenue un nom de code pour les jeunes Groenlandais. William Green

Tatouages inuits sur le visage, faux diamant à l’oreille, Josef Tarrak, 25 ans, balance son flow comme on crie sa colère. Son premier tube, sorti en 2016, s’appelait Tupilak, terme désignant ces statuettes ornées de têtes mi-démoniaques mi-animales qui servent encore parfois aux Groenlandais à jeter un sort à un ennemi, lequel est ici tout désigné : le Danemark.

Depuis, le rappeur a enchaîné les succès, les tournées en Europe, a produit les albums de hip-hop d’autres jeunes insulaires, et même participé à un documentaire sur cette nouvelle génération qui rêve d’un Groenland indépendant. Vaste comme quatre fois la France, mais peuplée de seulement 57 000 habitants, l’île bénéficie d’une autonomie renforcée, avec un gouvernement et un parlement. Mais c’est à Copenhague qu’on décide des affaires régaliennes – monnaie, défense, relations internationales… Et près de 60 % du budget provient du Danemark, faisant se heurter à la réalité les rêves d’indépendance.

“Je chante les rancœurs de ma génération et les dégâts de la colonisation”, insiste Tarrak. Comme beaucoup de jeunes, il a passé une année de lycée au Danemark. Expérience douloureuse mais fondatrice. Né d’un père marocain et d’une mère inuite, il a été en butte aux stéréotypes : “Fainéants, alcooliques et arriérés, dit-on de nous. Sur le campus, j’étais traité de “singe arctique”.”

Résultat, ses textes, toujours en kalaallisut (la langue groenlandaise), dévoilent un Groenland bien éloigné de la carte postale immaculée qu’on imagine. Tout y passe : misère sociale, alcoolisme, taux de suicide record chez les jeunes, ou encore difficulté de vivre dans les barres de béton de la capitale, Nuuk. Ces grands ensembles ont été édifiés à partir des années 1960 pour servir un plan de regroupement de la population alors dispersée dans les villages.

Tarrak connaît bien le sujet, il y a grandi. Tout comme sa femme, Paninnguaq, militante indépendantiste. Ces bâtiments vétustes dont la restauration se fait au compte-gouttes restent le symbole d’un processus d’assimilation à marche forcée qui avait pour but de faire des Groenlandais de bons ouvriers danois, productifs et disciplinés, pour les pêcheries d’État. “Il est temps de briser cette spirale dans laquelle on nous a enfermés”, martèle Tarrak. Son corps lui-même le dit : lorsqu’il a commencé à être célèbre, il s’est fait tatouer sur le torse, en grandes lettres noires, le mot “kalak”, qui signifie “sale Groenlandais”. Une vieille insulte coloniale que la nouvelle génération a retournée en fierté.

Arrêté, menacé, exilé, mais toujours parmi les siens chez les Samis

  • Andrei Danilov
  • Peuple : Sami
  • Nationalité : russe

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Andrei Danilov, ici en habits traditionnels, a dû quitter la Russie pour se mettre à l’abri des persécutions, mais il demeure sur le territoire des Samis. Nelly Slupachik

Arrestations, menaces, diffusion de rumeurs sur sa vie privée, le quotidien d’Andrei Danilov, 54 ans, dans l’oblast de Mourmansk (au nord-ouest de la Russie) était devenu un enfer. Alors, le directeur du Fonds sami pour le patrimoine et le développement s’est exilé en Norvège, il y a un an et demi. Chez lui, même les rassemblements traditionnels pour des fêtes samies et les grandes ventes annuelles de rennes étaient prohibés.

Depuis une bonne décennie, le régime de Vladimir Poutine augmente la pression sur les minorités autochtones du nord du pays, bien que ces groupes, largement décimés par les purges staliniennes, ne se mêlent presque pas de politique. Mais, alors qu’avec le réchauffement climatique, de nouvelles ressources (minières, gazières, pétrolières) se dévoilent et que la route maritime de l’Arctique s’ouvre, la région est devenue un enjeu stratégique pour le Kremlin. Et les préoccupations des peuples qui y vivent vis-à-vis de la pérennisation de leur culture, de la préservation de l’environnement et de leur survie économique se font plus sensibles.

Par exemple, dans la péninsule de Kola, à la frontière de la Finlande, les Samis russes s’opposent à de nombreux projets industriels qui menacent à court terme leurs moyens de subsistance ancestraux, comme l’élevage de rennes. Andrei Danilov a plusieurs fois mené la fronde, notamment contre le minier géant Nornickel (or, platine, cobalt…), accusé par de nombreuses ONG d’être – avec les arsenaux militaires de la région – parmi les responsables de la pollution des cours d’eau et des forêts.

En Norvège, Danilov a retrouvé sa liberté de parole et ne s’est pas privé de critiquer la guerre en Ukraine. La réplique ne s’est pas fait attendre. L’Association des peuples autochtones du Nord (Raipon), ouvertement pro-Poutine, a publié une déclaration critiquant l’opinion des “personnalités vivant à l’étranger qui ont perdu le contact avec leur terre natale”. Réponse de Danilov :

Je n’ai pas quitté mon pays natal, j’ai déménagé dans une autre région du pays sami.

Toute une vie passée à défendre le “droit au froid” aux côtés des Inuits

  • Sheila Watt-Cloutier
  • Peuple : Inuit
  • Nationalité : canadienne

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Née en 1953, cette militante défend le droit à la chasse et la pêche vivrière, quitte à se heurter aux associations de protection de la faune. Stephen Lowe

Pour illustrer le vertige des changements ultrarapides que subissent les régions polaires, Sheila Watt-Cloutier dit qu’elle appartient à “la dernière génération ayant connu le monde d’avant”. La militante inuite est née en 1953 dans le Nunavik, dans le Grand Nord québécois. Dans son enfance, les traîneaux à chiens étaient le principal moyen de transport durant les longs hivers, et la chasse et la pêche sur glace jouaient un rôle primordial dans la survie des petites communautés isolées.

“Nous vivions dans une réalité où tout importait et tout était relié”, rappelle-t-elle dans son best-seller Le Droit au froid (éd. Éco-société, 2019). Cette brillante débatteuse a fait de la défense des droits économiques, sociaux, culturels et environnementaux de son peuple le combat d’une vie. Élue au Conseil circumpolaire inuit, qu’elle dirigea entre 2002 et 2006, elle fut la représentante de l’ensemble des communautés inuites du Canada, du Groenland, de l’Alaska et de la Sibérie (soit environ 150 000 individus).

À ce titre, elle a participé aux négociations de la Convention de Stockholm en 2001 interdisant les polluants organiques persistants, une bataille qu’elle a été la première à porter sur la scène internationale. Elle a aussi lancé en 2005 une des premières actions en justice climatique pour réclamer la reconnaissance du “droit au froid” par la Commission interaméricaine des droits de l’homme. Cette procédure soutenait que les émissions de gaz à effet de serre non maîtrisées provenant des États-Unis enfreignaient les droits fondamentaux de son peuple. La démarche fut jugée irrecevable mais marqua un tournant en matière de droit climatique international.

Malgré tout, Sheila Watt-Cloutier s’est souvent heurtée aux associations de défense de la nature, en particulier sur la question de la chasse aux phoques. C’est qu’elle est Inuite avant tout. Longtemps travailleuse sociale, elle a mesuré l’impact de l’interdiction de la vente des peaux au Canada dans les années 1960. “Une catastrophe économique qui a obligé les communautés à quitter un mode de vie sur lequel se fondait toute leur dignité”, argue-t-elle. Selon elle, les chasseurs dépendaient de cette unique ressource pour nourrir leurs familles, et la vente des sous-produits (peaux, graisse…) était le seul moyen d’améliorer leurs revenus. Les désastres sociaux provoqués par la colonisation anglo-canadienne, la sédentarisation forcée dans des réserves et la modernisation trop rapide de communautés si longtemps isolées se sont ajoutés à ce revers. Aujourd’hui, la lutte contre le réchauffement ressemble à une nouvelle épreuve :

Tout un pan de la culture des Inuits fond en même temps que la calotte glaciaire, observe-t-elle.

La poétesse sami réclame des comptes mais aussi… des crânes

  • Rose-Marie Huuva
  • Peuple : Sami
  • Nationalité : suédoise

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Rose-Marie Huuva, lors de la cérémonie par laquelle l’Eglise luthérienne suédoise a présenté ses excuses aux Samis, en 2021, pour sa part prise dans la colonisation. Magnus Aronson / Ikon

Posées à même le sol, les quatorze boîtes transparentes contiennent chacune un crâne. Une quinzième boîte est vide. L’ensemble forme un grand cercle, dont on devine qu’il a quelque chose à voir avec des cérémonies sacrées. Au centre, aucun feu ne brûle, mais un petit monticule de terre se dresse, de ceux que les fossoyeurs forment à côté des tombes fraîchement creusées.

Cette installation macabre raconte la tragédie qui agite encore et toujours l’artiste et poétesse samie Rose-Marie Huuva. L’œuvre a été exposée dans plusieurs musées et galeries d’art contemporain de Scandinavie. C’est l’une des nombreuses manières qu’a cette octogénaire à l’énergie intacte de dévoiler cette page méconnue de l’histoire suédoise. Ses poèmes, eux aussi, racontent cette affaire des sépultures pillées dans les cimetières du Nord.

Au XIXe siècle et au début du XXe siècle, plusieurs expéditions consistèrent à exhumer les corps des autochtones, au nom de la science, à des fins d’études morphologiques. Des centaines de squelettes emportés, des crânes exposés ou revendus comme des curiosités exotiques. Depuis une vingtaine d’années, Rose-Marie milite pour que tout cela soit enfin restitué aux descendants. Une affaire personnelle (certains de ses ancêtres sont concernés), autant qu’un travail de réparation des relations avec la nation suédoise. Mais l’enquête réclame des moyens colossaux. Nul ne sait combien de dépouilles furent exhumées. Des dizaines de crânes sont aujourd’hui dans les réserves de musées à Paris et Berlin, voire dans des collections privées.

L’affaire dévoile en creux la manière dont les Suédois considéraient il y a moins d’un siècle ce peuple nordique vivant selon des croyances très éloignées du luthéranisme, la religion dominante du pays. Dans ses poèmes, écrits en sami, Rose-Marie évoque aussi les études menées dans les années 1920 par l’Institut de biologie raciale, fondé à Uppsala. À l’époque, la théorie des races et son pendant, l’eugénisme, étaient en vogue et la Suède ne faisait pas exception, loin de là. Des chercheurs menèrent des études en territoire sami. Pour cela, ils rassemblèrent à plusieurs reprises les habitants, particulièrement les enfants, afin de les prendre en photo, le plus souvent nus, de face et de profil, avec une froideur toute scientifique.

Au total, quelque 12 000 images dorment aujourd’hui dans les archives. Sans relâche, la plus respectée des artistes samis, dont la mère fut photographiée enfant, réclame que son peuple puisse enfin décider de l’avenir de ces clichés.

➤ Article paru dans le hors-série GEO Beauté et enjeux des Pôles, n°118, de décembre 2023 – janvier 2024.

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