Cette opération va durer 11 semaines et mobilisera près de 1.700 policiers, gendarmes et militaires.
Un policier municipal à Koungou (Mayotte) le 8 décembre 2023
Une nouvelle opération contre l’insécurité, l’immigration irrégulière et l’habitat insalubre a été lancée mardi 16 avril à Mayotte, un an après le début d’une première intervention baptisée “Wuambushu”, a annoncé le ministère français des Outre-mer.
1700 policiers, gendarmes et militaires
Cette opération, baptisée “Mayotte place nette”, doit durer 11 semaines et concernera plusieurs points précis de l’archipel. Elle engage quelque 1700 policiers, gendarmes et militaires, soit autant de forces de l’ordre que dans les villes de Nice, Montpellier et Rennes réunies.
Parmi eux, se trouvent des personnels spécialisés, dont des fonctionnaires de la direction nationale de la Police aux frontières et des officiers de police judiciaire.
>>Plus d’informations à suivre sur BFMTV.com
News Related-
Foot: Cristiano Ronaldo la joue fair-play en Ligue des champions asiatique
-
A Panmunjom, des soldats nord-coréens munis d'un pistolet après l'annulation de l'accord militaire intercoréen
-
Assurance chômage: les partenaires sociaux ont six mois pour renégocier, notamment sur les seniors
-
«Je ne regardais les réseaux sociaux que 15 minutes par jour»: la méthode d’Ulysse, major à HEC
-
Décarbonation, souveraineté, compétitivité... Macron attendu aux assises de l'économie de la mer à Nantes
-
Sam Bennett, un sprinteur à relancer pour Decathlon-AG2R La Mondiale
-
Burkina Faso: une attaque terroriste d'ampleur vise la ville de Djibo, dans le Sahel
-
VIDÉO. Fair-play, Cristiano Ronaldo obtient un penalty avec Al-Nassr et le fait annuler
-
EXCLU EUROPE 1 - Vieillir à domicile, un luxe de plus en plus coûteux
-
Guerre en Ukraine : quel est le rapport de force avant l’hiver ?
-
Pollution : Pourquoi la qualité de l’air n’est-elle jamais « bonne » en Bretagne ?
-
Ligue des champions. Le PSG qualifié pour les huitièmes de finale de C1 si…
-
Les trois meilleurs sacs banane en 2023
-
Assurance chômage : comment l’État met la pression sur les partenaires sociaux