Le parebrise d’un Boeing 737 Max se fissure en plein vol entre la Turquie et l’Allemagne

En plein vol entre l’Allemagne et la Turquie, l’un des pare-brises du cockpit d’un Boeing 737-8 Max s’est fissuré, obligeant les pilotes à voler pendant plus de 25 minutes à une altitude de 8.500 mètres pour rejoindre en toute sécurité Stuttgart

L’un des pare-brises d’un Boeing 737 Max s’est fissuré lors d’un vol entre la Turquie et l’Allemagne. (Illustration)

série noire – En plein vol entre l’Allemagne et la Turquie, l’un des pare-brises du cockpit d’un Boeing 737-8 Max s’est fissuré, obligeant les pilotes à voler pendant plus de 25 minutes à une altitude de 8.500 mètres pour rejoindre en toute sécurité Stuttgart

Les difficultés de Boeing, notamment sur ses aéronefs 737 Max, continuent de faire parler. Cette fois-ci, c’est l’un des pare-brises du poste de pilotage qui s’est fissuré en plein vol, rapporte un site Web anglais qui publie des rapports d’accidents et d’incidents dans l’aviation commerciale, le Aviation Herald.

Même si un pare-brise qui se fissure n’est pas si rare dans l’aéronautique et reste sans conséquences, il n’est toujours pas rassurant de l’apprendre. Est-il nécessaire de rappeler, même s’il s’agit là de tout autre chose, que dernièrement, le 5 janvier, c’était une porte d’évacuation d’un Boeing 737 Max 9 de la compagnie Alaska Airlines qui s’arrachait en plein vol, sans faire de victime heureusement.

Dépressurisation

Ce lundi donc, comme le rapporte Aviation Herald, l’appareil de la compagnie Smartlynx Airlines Matla, effectuait un vol entre Istanbul en Turquie et l’aéroport de Stuttgart en Allemagne. La fissure serait apparue près de 45 minutes après le décollage, obligeant les pilotes à descendre au niveau de vol FL 280, soit environ 8.500 mètres d’altitude.

Ils ont ainsi pu continuer leur vol jusqu’à Stuttgart en toute sécurité, sans aucun problème de dépressurisation. Plus de cinq heures après s’être posé, l’avion a pu retourner en Turquie sur l’aéroport international Sabiha Gökçen d’Istanbul, où l’avion a été immobilisé plusieurs heures pour des vérifications.

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