Il vous reste moins de 10 jours pour voir ce film émouvant nommé pour 4 César sur Netflix

Il vous reste moins de 10 jours pour voir ce film émouvant nommé pour 4 César sur Netflix

D’ici quelques jours, un film de 2017 sera prochainement retiré de la plateforme de streaming Netflix. Une comédie dramatique qui a été nommée 4 fois aux César.

Chaque semaine, le catalogue Netflix évolue. Alors que le géant de la SVOD propos toujours plus de contenus à ses abonnés, il en retire également de façon régulière. D’ici quelques jours, c’est La promesse de l’aube qui va être retiré de la plateforme de streaming au logo rouge. Le film adapté du roman éponyme de Romain Gary ne sera plus disponible sur Netflix à partir du 19 avril prochain. Lors de sa sortie en 2017, il a rencontré un gros succès avec plus d’un million d’entrées au cinéma. Côté récompenses, La promesse de l’aube a été nommé à quatre reprises aux César 2018 : celui de la meilleure actrice pour Charlotte Gainsbourg, celui de la meilleure adaptation, celui des meilleurs décors et celui des meilleurs costumes. Il n’a cependant remporté aucune récompense.

Que raconte La promesse de l’aube ?

L’histoire suit Romain Gary, joué par Pierre Niney, dont la vie a été bien rythmée. Après avoir passé une enfance compliquée en Pologne, il s’est installé à Nice au moment de son adolescence, avant de devenir aviateur en Afrique pendant la Seconde Guerre mondiale. Ecrivain célèbre, Romain Gary doit son acharnement pour le travail à Nina, sa mère, toujours présente pour le soutenir. Elle fera de son fils l’un des romanciers majeurs du 20ème siècle. Un amour maternel sans limites et passionnel qui sera également un fardeau.

La promesse de l’aube : le producteur voulait rester “fidèle à l’esprit du roman”

Éric Barbier, le réalisateur de La promesse de l’aube, avait lu de nombreux romans de Romain Gary, mais pas celui-ci… Malgré tout, il a accepté la proposition du producteur Eric Jehelmann de l’adapter au cinéma. Ce dernier a d’ailleurs déclaré : “J’avais découpé le roman en toutes petites unités d’actions : à la fin du livre, j’avais recensé 876 unités… J’étais évidemment obligé de raccourcir. Ou plutôt de concentrer. Je me suis sans cesse demandé quand la trahison était acceptable et quand elle ne l’était plus. Je voulais être absolument fidèle à l’esprit du roman.”

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Article écrit avec la collaboration de 6médias.