Pour défendre sa place lors du prime de vendredi, Axel devra chanter “Don’t stop me now” de Queen. Laurent Vu/SIPA
Un témoignage très touchant. Dans la quotidienne de mercredi 13 décembre, Axel, l’un des candidats phares de la onzième saison de la Star Academy, est revenu sur la difficulté qu’il rencontre à assumer son homosexualité.
Alors qu’il jouera sa place dans l’émission lors du prime de vendredi soir, le jeune homme de 23 ans a appris qu’il allait devoir chanter « Don’t stop me now », le célèbre tube de Queen, pour défendre sa place.
Après avoir appris la nouvelle, Axel s’est confié auprès de Michael Goldman et des autres candidats sur la difficulté qu’il allait rencontrer à réaliser une telle prestation. « Ce n’est pas ma zone de confort, on me challenge encore », explique-t-il au directeur, qui lui indique qu’il aimerait qu’il se lâche.
«Ã‚ J’ai peur que si je me lâche vraiment, on voit trop mon côté où je suis gay », lui rétorque-t-il, avant de poser des mots sur sa situation. « Toute ma vie j’ai dû le cacher parce que ce n’était pas bien de le montrer, et làdu coup, ça me met une pression de fou. Je n’ai pas envie que l’on me voie que comme ça. Et je sais que si je suis 100 % moi-même, ça ressort beaucoup. »
« Je ne sais pas s’ils sont fiers de ce que je suis »
Par la suite, le jeune homme conseiller municipal à Saint-Mammès (Seine-et-Marne) explique malgré tout que son aventure dans le château de Dammarie-les-Lys lui fait du bien. « Je me dévoile ici, je me découvre. Je suis à l’aise parce qu’ils me mettent grave en confiance », avant d’évoquer les problèmes qu’il a pu rencontrrer quant à son orientation sexuelle au sein de de famille.
«Ã‚ Je sais que quand je vais rentrer chez moi, je ne vais pas pouvoir regarder mon père dans les yeux », lâche l’élève face àMichael Goldman visiblement ému par ces confidences très personnelles. « Ce ne sera pas possible après cette presta » ajoute-t-il.
Comme le rappelle TF1, dans son portrait diffusé en début de saison, Axel expliquait que ses parents s’étaient séparés et qu’il avait dû, avec sa sœur, s’occuper « pendant quelque temps » des plus jeunes de la fratrie de cinq enfants.
Selon ses dires, la relation avec ses parents reste encore difficile à ce jour. « Je ne sais pas s’ils sont fiers de ce que je fais. Je ne sais pas s’ils sont fiers de ce que je suis. De ce que je suis devenu. De ce que je deviens », avoue-t-il. « Ça me fait un petit peu de la peine parce que sont mes parents ».
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