Régime de Vichy : quand l'extrême droite était au pouvoir

régime de vichy : quand l'extrême droite était au pouvoir

Image d'archive du Maréchal Pétain et de Hitler (octobre 1940).

Avec Pétain, antiparlementaires et nationalistes eurent l'occasion de mettre en pratique leur programme. En quatre ans, des milliers de décrets et de lois furent promulgués. Principalement contre la liberté et la démocratie.

"Un ordre nouveau commence… C'est à un redressement moral et intellectuel que, d'abord, je vous convie. […] Notre défaite est venue de nos relâchements. L'esprit de jouissance détruit ce que l'esprit de sacrifice a édifié." C'est par ces mots que le maréchal Pétain annonçait l'armistice sur les ondes et énonçait son credo, le 25 juin 1940. Un mois plus tard, le 10 juillet, les deux Chambres réunies au casino de Vichy votaient la nouvelle Constitution donnant les pleins pouvoirs à celui qui se posait en sauveur de la nation.

La République honnie avait elle-même signé son acte de décès. Après la débâcle, 569 députés et sénateurs français (un quart des parlementaires étaient absents ce jour-là) votèrent, le 10 juillet 1940, la naissance de l'Etat français, offrant au nouveau régime la légitimité institutionnelle. Investi des pleins pouvoirs, le maréchal Pétain pouvait lancer sa Révolution nationale. Une contre-révolution en vérité, reprenant, sur bien des points, le programme de l'Action française.

La IIIe République était morte

Le maréchal Pétain pouvait désormais promulguer, seul, décrets et lois, nommer et révoquer à sa guise des ministres qui ne rendaient de comptes qu'à lui. Ajournés jusqu'à nouvel ordre, le Sénat et la Chambre des députés furent vite remplacés par un Conseil national, peuplé d'ex-parlementaires serviles. Par le serment de fidélité (loi du 14 août 1941) exigé à sa personne, le chef du nouvel Etat français étendait son autorité sur l'administration, la justice et l'armée. Et si les partis politiques restèrent officiellement autorisés, les membres de ceux qui dérangeaient furent interdits de toute réunion et activité à l'été 1941.

La presse aussi fut mise au pas. Toute vie démocratique ainsi éteinte, l'esprit des Lumières cessait de souffler en France, et Pierre Laval, Premier ministre, pouvait se féliciter que la nouvelle constitution ait attribué à Pétain "plus de pouvoirs qu'à Louis XIV". Bien sûr, il restait le traumatisme de la défaite militaire éclair de la France en mai-juin 1940. Figure tutélaire de l'Action française, le principal mouvement d'extrême droite sous la IIIe République, Charles Maurras, bien que viscéralement anti-Alle-mands, y trouvait tout de même une belle consolation. Elle avait, écrivait-il, "le bon résultat de nous débarrasser de nos démocrates".

Pour lui, nul doute, ces derniers étaient responsables de la décadence et du malheur de la France. La "divine surprise" que l'écrivain monarchiste célébrait en février 1941 dans le quotidien Le Petit Marseillais n'était donc pas la victoire nazie, mais sa conséquence inespérée : l'accession au pouvoir de Pétain et la possibilité qu'elle offrait de solder l'héritage révolutionnaire pour restaurer la France dans sa gloire d'antan.

"Travail, Famille, Patrie"

La France devint alors le seul pays d'Europe occupé dirigé par un gouvernement légal. Lequel eut donc toute latitude pour lancer sa réforme institutionnelle, culturelle et morale. Annoncée dans le projet de loi constitutionnelle du 10 juillet 1940, la "Révolution nationale" était apparue en 1924 sous la plume du journaliste Georges Valois, qui sera le premier Français à se rallier au fascisme mussolinien. Dans son livre, il appelait à en finir avec "l'Etat libéral". Cette "Révolution nationale" allait être mise en action, à l'été 1940, avec un programme qui tenait 940, avec un programme qui tenait en trois mots : "Travail, Famille, Patrie."

Ce slogan emprunté à un syndicat d'extrême droite remplaça du jour au lendemain la devise républicaine "Liberté, Égalité, Fraternité" sur les bâtiments publics et les actes officiels. Il annonçait le retour à une stricte hiérarchie sociale, au profit des "élites véritables". Le but ultime de l'"ordre nouveau" – en finir avec la lutte des classes – était explicité dès octobre dans un discours radiophonique du maréchal :

Il faut aujourd'hui reconstruire la France […] On ne saurait davantage y découvrir les traits […] de 1936 […] Nous devrons tragiquement réaliser, dans la défaite, la révolution que dans la victoire, dans la paix, dans l'entente volontaire de peuples égaux, nous n'avons même pas su concevoir.

La (contre)-révolution prônait le retour aux cadres d'autorité traditionnels (famille, métier, patrie) dans une société patriarcale, hiérarchisée et univoque, où régneraient l'ordre moral et les valeurs chrétiennes, et où les devoirs des individus primeraient leurs droits. En quatre ans, une majorité des 16 786 décrets et lois furent promulgués en ce sens.

Pétain, vénéré comme une divinité

Le 11 octobre 1940, Pétain enfonça le clou de son autorité dans son message au peuple français :

Le régime nouveau sera une hiérarchie sociale. Il ne reposera plus sur l'idée fausse de l'égalité naturelle des hommes. […] Ainsi renaîtront les élites véritables…

Bouleversés par la débâcle de 1940, des millions de Français s'accrochèrent à l'image rassurante du sauveur de Verdun. Et le culte officiel se mit d'emblée en place. Le buste du maréchal trônait dans les mairies, sa photo dans les foyers. Omniprésente dans les journaux, sa figure se retrouvait aussi sur des timbres. Pour la première fois depuis le Second Empire, une monnaie (une pièce de 5 francs) fut frappée à l'effigie du chef de l'Etat. Une affiche associant le portrait de Pétain et le drapeau tricolore, signée du slogan "Révolution nationale", fut imprimée à plusieurs millions d'exemplaires.

Le chant Maréchal, nous voilà !, exaltant la l'adhésion, devint l'hymne national officieux, diffusé à l'envi par les radios, et repris par les fanfares et les chorales d'enfants. Le culte fut aussi entretenu par la Légion française des combattants (LFC), réunion des associations d'anciens combattants, qui compta plus de un million de membres. L'almanach de la LFC proposa même une singulière prière :

Notre maréchal, que votre nom soit glorifié, que votre volonté soit faite…

Le gouvernement de Vichy mit un terme à la pluralité des opinions. Les partis politiques n'étaient pas prohibés, mais interdits de réunion et d'activité à partir d'août 1941. Par ailleurs, un secrétariat général à l'Information fut chargé de museler les médias. Le gouvernement prodiguait aux journaux de la zone libre des "orientations" sur le contenu et la forme de leurs articles. On "extirpa" aussi les personnalités jugées rebelles de l'édition, du théâtre, du cinéma. Mais le manque de moyens, l'incompétence des bureaux de censure, et certaines résistances rendant la tache difficile, l'épuration culturelle se concentra sur l'exclusion des auteurs, acteurs et techniciens juifs.

Façonner un "homme nouveau"

L'école primaire fut une priorité du régime vichyste. Les professeurs républicains étant désignés parmi les responsables de la défaite, le corps enseignant fut tout de suite épuré d'un millier de "mauvais" maîtres (juifs, francs-maçons et communistes). Puis on distribua aux enfants de nouveaux manuels scolaires. Ces livres d'histoire chantaient la gloire d'un roman national peuplé de héros et de saints (Robespierre disparaissant au profit de Vercingétorix, de Jeanne d'Arc et de… Pétain). Et plutôt qu'enseigner, il fallait désormais inculquer l'obéissance, la discipline, le patriotisme, le sens du devoir et du sacrifice. Les écoliers, qui entonnaient quotidiennement Maréchal, nous voilà !, recevaient force leçons de morale, une discipline essentielle, centrées sur la nouvelle devise ("Travail, Famille, Patrie") de l'Etat français.

Vichy s'attacha aussi à encadrer, physiquement et idéologiquement, les 20-30 ans. Faute d'un mouvement unique, les structures pullulèrent – Compagnons de France, Jeune France, Jeunes du maréchal, Jeunes de l'Europe nouvelle, etc. –, animées par les différentes tendances au pouvoir, des traditionalistes chrétiens aux fascistes païens. Vichy créa néanmoins des maisons des jeunes et des écoles de cadres, qui devaient former les futures élites.

En outre, tous les jeunes hommes de la zone libre, à l'exclusion des juifs, devaient accomplir un stage de huit mois aux Chantiers de la jeunesse française, substituts au service militaire. Sous la conduite d'officiers démobilisés, ils y réalisaient des travaux d'intérêt général en célébrant les valeurs de la "Révolution nationale". Aucune activité politique n'y était tolérée : radios et débats étaient prohibés. Malgré les réticences de leur directeur, le général de La Porte du Theil, les chantiers seront, à partir de 1943, transformés en viviers de main-d'œuvre au service de l'occupant. Ainsi 16 000 jeunes (sur 600 000 hommes au total) seront envoyés en Allemagne pour le service du travail obligatoire (STO).

La mère, pilier de la société française

"La famille est la cellule fondamentale de la société. Elle est l'assise de l'édifice social", avait déclaré le maréchal Pétain au lendemain de la défaite de 1940. Sous l'influence de l'Eglise, l'Etat français se préoccupa avant tout de relancer la natalité dans un pays marqué depuis deux décennies par un déclin démographique sensible. Pour qu'elles puissent être mères au foyer, il fallait dissuader les épouses de travailler. Une loi d'octobre 1940 restreignit l'embauche et le maintien en poste des femmes mariées dans la fonction publique. Une nouvelle allocation de salaire, versée pendant deux ans aux jeunes ménages, voyait son montant augmenter avec le nombre d'enfants. A contrario, un couple sans descendance au terme de deux ans d'union légale perdait l'avantage fiscal du mariage. On réprima l'adultère, le divorce fut rendu quasi impossible, l'abandon d'enfant devint un délit pénal.

L'avortement, par la loi du 15 février 1942, fut requalifié en "crime contre la sûreté de l'Etat". Originaire de Cherbourg, Marie-Louise Giraud fut ainsi guillotinée dans la cour de la prison de la Petite Roquette à Paris, le 30 juillet 1943, après que Pétain lui a refusé la grâce. Elle fut la seule "faiseuse d'ange" à être exécutée pour ce motif.

Dans le même temps, l'adoption fut facilitée et les parents de familles nombreuses recevaient des décorations. Contrairement à une idée communément répandue, le régime de Vichy n'a cependant pas inventé la fête des Mères en mai 1941. Il s'est contenté de remettre au goût du jour une célébration déjà instaurée en 1920. Pour l'occasion, 80 000 affiches furent éditées, et le maréchal prononça un discours vibrant :

Mères de notre pays de France, votre tâche est la plus rude. Elle est aussi la plus belle. […] Vous seules avez donner à tous ce goût du travail bien fait, ce sens de la discipline, de la modestie, du respect, qui font les hommes sains et les peuples forts.

Cette politique favorisa une forte hausse du taux de natalité, mais se heurta au réel. Beaucoup de femmes, pour subsister en l'absence d'un époux prisonnier ou réquisitionné, devaient non seulement travailler mais multiplier les activités. Le nombre des naissances illégitimes augmenta et la prostitution fut florissante (Vichy autorisa les maisons closes).

Fantasmes et aménagements

Pour la frange la plus traditionaliste de l'extrême droite, la modernité industrielle et urbaine fut toujours suspecte. Elle était accusée d'arracher les êtres à leurs racines, de corrompre les corps et de pervertir les âmes. C'est au contraire, pensait-on, dans la terre des campagnes que s'ancraient sentiment patriotique et valeurs ancestrales. "La terre ne ment pas", martelait un slogan de Vichy pour rappeler que "la maison France devait nourrir ses enfants". L'Etat français mit constamment en avant cet attachement. Son action fut cependant paradoxale.

L'Ordre nouveau imaginait faire surgir la France des tréfonds de son passé, en redonnant notamment vie et lustre aux antiques provinces supprimées par la Révolution. Mais ce projet initial de la "Révolution nationale" se solda vite par un échec. Le "retour à la terre" fut en fait extrêmement limité, au propre (moins de 1 500 urbains retournèrent aux champs d'après Robert O. Paxton, auteur de La France de Vichy, éd. du Seuil, en 1974), comme au figuré : la renaissance espérée des traditions culturelles et des patois locaux fit long feu.

Au contraire, le régime de Vichy posa de fait les fondements d'une politique moderne d'aménagement du territoire, conçue et portée par des technocrates enthousiastes d'être libérés des contre-pouvoirs locaux républicains (députés-maires, conseillers généraux, etc.). Dans le cadre du premier plan décennal de 1941, ils créèrent 18 régions administratives, chacune dirigée par un préfet dont les deux priorités étaient le maintien de l'ordre et le ravitaillement. Il s'agit de la première mise en place institutionnelle de régions en France, vues comme un relais efficace de l'action de l'Etat central.

Les syndicats et la grève sont interdits

Dans un contexte de pénurie, l'Etat français mit sur pied une économie dirigée. Pétain, dans son discours du 11 octobre 1940, proclama les bases d'une économie "organisée et contrôlée", rejetant le libéralisme comme un "produit étranger". Très interventionniste, il institua les premiers instruments de planification avec la Délégation générale à l'équipement national, base du futur Commissariat au plan.

La charte du travail de mai 1941 prononça la dissolution des syndicats, remplacés par des comités sociaux, des corporations par branches d'activité, un système qui permettait à l'Etat de fixer les prix et les salaires. Médecins et architectes furent réorganisés en ordres professionnels. Les grèves furent interdites. Vichy institua aussi la fonction de PDG, chef unique de l'entreprise, assumant l'autorité et la responsabilité financière. La charte du travail posait pour la première fois le principe d'un salaire minimum vital, qui fut pourtant peu appliqué.

Le régime prit aussi des mesures pour étendre la protection sociale, créant de nouvelles allocations, développant les mutuelles, remplaçant la retraite par capitalisation par un système de répartition, et instaurant une allocation pour 1,5 million de travailleurs de plus de 65 ans aux revenus insuffisants.

Ils ont pactisé avec le régime nazi

Soutiens actifs du régime, les chefs des partis fascistes français comme Jacques Doriot et Marcel Déat (le Parti populaire français et le Rassemblement national populaire comptaient 20 000 à 30 000 membres chacun) ou encore Marcel Bucard (Parti franciste et Légion des volontaires français contre le bolchevisme – LVF) ne cessaient de pousser à la radicalisation. Par ailleurs, des intellectuels tels Robert Brasillach et Jean Luchaire encourageaient également le gouvernement à se mettre au service des occupants allemands. Au milieu de 1942, sous la pression de l'occupant, le concept de "Révolution nationale" fut mis sous le boisseau pour faire place à une franche collaboration avec l'ennemi. Une partie de l'extrême droite française se rallia à l'idéologie nazie, avec pour projet l'édification d'une grande Europe fasciste, déclarée seul rempart face au péril bolchevique.

Le second gouvernement de Vichy (19421944), lorsque Pierre Laval devint Premier ministre à la place de l'amiral Darlan, instaura un durcissement de la répression, avec notamment la création de la Milice et des cours martiales expéditives. Polices françaises et allemandes menaient désormais ensemble la chasse aux ennemis du régime. Ainsi, 30 000 résistants périrent sous les balles françaises et 60 000 furent déportés par les nazis. La persécution des juifs elle aussi changea d'échelle. Organisant en juillet 1942 la première grande rafle, dite rafle du Vel' d'Hiv', le gouvernement français devenait le complice actif du génocide en préparation. Sur les 350 000 juifs de France, 75 000 furent déportés.

Les collaborationnistes prônaient aussi l'entrée en guerre contre l'URSS. Ils fournirent les troupes de la LVF, dont la division Charlemagne, qui combattit avec les nazis sur le front de l'Est. On en retrouva certains à Sigmaringen, en Allemagne, où s'était réfugié le gouvernement de Vichy en déroute en septembre 1944.

Pour Vichy et ses partisans, les responsables de la défaite étaient connus : communistes, francs-maçons, juifs, apatrides, "métèques"... La purification de la nation s'imposait. Après les appels à la délation de ces "mauvais Français", leur traque s'organisa. Dès septembre 1940, les sociétés secrètes (loges maçonniques) furent dissoutes, le décret réprimant les injures racistes abrogé, les "délits d'opinion et d'appartenance" rétablis. Puis les opposants furent chassés de l'administration et deux ordonnances autorisèrent l'emprisonnement des communistes et des "nomades".

Les prisons pleines, Vichy conçut un réseau de camps d'internement : Gurs, Châteaubriant, Pithiviers, Rivesaltes, Les Milles, Compiègne, Drancy… Une commission fut chargée de faire le tri parmi les habitants qui avaient récemment obtenu la nationalité française : 15 154 réfugiés en furent déchus – dont 40 % de juifs. Les étrangers réfugiés furent expulsés, déportés ou les cibles d'une politique de travail forcé. En plus d'une police nationale soumettant toutes les forces de l'ordre au pouvoir central, Vichy créa les renseignements généraux et trois polices parallèles : le service de police anticommuniste, le service des sociétés secrètes et la police aux questions juives. Car Pétain avait désigné la "juiverie" comme l'ennemi numéro un.

En octobre 1940, l'instauration d'un premier "statut juif" entérinait l'antisémitisme d'Etat. Pour limiter leur "influence" néfaste, les "israélites" furent exclus de la citoyenneté et empêchés de travailler. En 1941, le commissariat général aux questions juives édicta un second statut organisant le recensement de tous les juifs, français et étrangers, présents sur le territoire national. Pour les 350 000 juifs de France, la nuit commençait.

Cet article est issu du GEO Histoire n°32 "L'extrême-droite en France", d'avril-mai 2017

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