Le clan Le Pen se déleste de sa villa de Rueil-Malmaison : voici à combien le bien a été vendu
Le clan Le Pen se déleste de sa villa de Rueil-Malmaison : voici à combien le bien a été vendu
Les Le Pen sont une fois de plus au cœur de l’actualité française. Heureusement, cette fois-ci, ce n’est pas à cause de leurs opinions politiques, mais plutôt grâce à une transaction immobilière inédite. Vous souhaitez en savoir plus ? Nous vous disons tout.
La famille Le Pen occupe une place importante dans le paysage socio-politique français. C’est un clan avec une grande notoriété auprès des Français partisans du Rassemblement national autrefois appelé Front national et au-delà. En effet, entre 1972 et 2019 le père Jean-Marie Le Pen et sa fille Marie Le Pen étaient à la tête de ce parti politique. Aujourd’hui, ils font la une des médias pour une toute autre raison. Vous vous demandez de quoi il s’agit ? Nous vous révélons pour quelle raison la famille Le Pen est de nouveau au centre de l’attention.
La villa des Le Pen a un nouveau propriétaire
Une bonne affaire
Les Le Pen sortent d’une transaction immobilière qui fait d’eux des millionnaires. La famille de politiciens s’est séparée de sa villa située à Rueil-Malmaison dans Les Hauts-de-Seine en pleine région France-îlienne où Jordan Bardella s’est installé. Elle réalise une bonne affaire qui profite à tout le clan : Jean-Marie Le Pen, Marie Le Pen et Yann Le Pen. L’issue de cette démarche qui date du 13 novembre 2023 a été révélée au grand jour. Une nouvelle raison pour braquer les projecteurs sur cette famille dont les positions politiques font parler.
Le montant déboursé par les nouveaux propriétaires
Le père Le Pen et ses deux filles ont cédé leur propriété à deux hommes influents bien connus des Français. Il s’agit de François Durvye, le directeur général d’Otium Capital et Pierre-Edouard Stérin, le milliardaire qui fait surtout parler de lui pour ses prises de positions contre l’interruption volontaire de la grossesse (IVG). Ils ont dû débourser 2,5 millions d’euros pour que cette demeure soit au nom de la société civile immobilière qu’ils possèdent tous les deux.
Le fait intrigant
Il se trouve que les ex-propriétaires de la Bonbonnière comme elle avait été baptisée ont réalisé une très bonne affaire. En effet, ils vendent ce bien pour plus de trois fois son prix d’achat initial. C’est un coup de maître de la part des Le Pen. Cette villa ne coûtait que 720 000 euros lorsque Jean-Marie a eu un coup de cœur en 1965. Près de six décennies plus tard, le bien génère près de 2 millions d’euros de bénéfice.
Tout ce qui y’a à savoir sur la Bonbonnière
Un bien très convoité
La Bonbonnière est connue comme appartenant aux Le Pen depuis plusieurs décennies. Ce n’est pas le cas puisque la demeure dans laquelle habite Jean-Marie Le Pen a été en location pendant 25 ans. Près de 22 ans après l’avoir occupé, en 1987, le mari de Jany Le Pen décide de s’en séparer. Il vend sa villa au prix de 2 millions en incluant des clauses de réméré qui lui permette de racheter son bien avec des facilités. Au terme d’une bataille judiciaire entreprise par ses filles en 2012, la famille récupère sa maison en déboursant seulement 720 000 euros.
Les caractéristiques de la Bonbonnière
Le fief des Le Pen est un cadre familial doté de beaucoup de charme selon le magazine économique Capital. La maison abrite un jardin avec des conifères d’une superficie de 1600 m2 et une jolie piscine. C’est une demeure de 300 m2 qui fait deux étages contenant neuf pièces. Ce n’est pas tout ! De plus, on retrouve au sein de la propriété une dépendance de 54 m2. Cette propriété n’a rien à envier au célèbre manoir de Montretout de Saint-Cloud. Le confort y est au rendez-vous.
Les bénéficiaires de la vente
Cette vente qui a généré près de 1,8 millions de bénéfice profite à chacun des membres du clan Le Pen. Jean-Marie Le Pen, le père de famille, s’en sort avec la plus grosse part. Marie Le Pen qui elle a son havre de paix en Bretagne et sa sœur s’en sortent avec des parts égales. Les montants qui leur reviennent successivement sont 890 000 euros et 445 000 euros pour les deux autres. Il y a donc de quoi se réjouir de la tournure des choses onze années après la longue bataille judiciaire.