Législatives 2024 : qui sont les principaux candidats déclarés dans votre circonscription ?
Les candidats aux élections législatives anticipées ont jusqu’à dimanche pour déposer leur candidature en préfecture. Collage Datagif pour Le Parisien
Les dernières tractations prennent cours, avant le coup de sifflet final. Les candidats aux élections législatives anticipées ont jusqu’à ce dimanche pour déposer leur candidature en préfecture, mais, dans les 577 circonscriptions que compte le pays, de nombreux partis ont déjà choisi officiellement leur poulain.
Le Parisien vous propose de découvrir, dès à présent, qui sont les principaux candidats déclarés dans votre circonscription à l’aide de notre moteur de recherche. Choisissez, dans l’outil que nous avons développé et qui sera régulièrement mis à jour jusqu’à dimanche soir, la localité qui vous intéresse.
Si jamais vous ne connaissez pas votre circonscription, vous pouvez utiliser le simulateur ci-dessous, en entrant votre adresse. Si la saisie de texte ne fonctionne pas sur Android, cliquer sur ce lien.
À gauche, quelques surprises sont à signaler : Danielle Simonnet, élue à Paris, ainsi que Raquel Garrido et Alexis Corbière, députés de Seine-Saint-Denis, ont été écartés, au profit de figures moins médiatiques. Ils annoncent maintenir leur candidature, mais se présenteront comme dissident.
Dernière ligne droite pour se décider
Adrien Quatennens, député sortant du Nord, condamné en 2022 à quatre mois d’emprisonnement avec sursis pour violences conjugales, a été réinvesti vendredi soir par la formation de gauche radicale.
Autre surprise lors de cette dernière ligne droite, l’ancien président de la République François Hollande a annoncé se présenter dans la première circonscription de Corrèze. Investi par le Parti socialiste, il devrait donc être soutenu par le Nouveau Front populaire (NFP). Le très médiatique chef du fil du NPA, Philippe Poutou, a quant à lui été investi comme candidat du Nouveau Front populaire dans l’Aude, une circonscription au vote traditionnellement de gauche, et donc gagnable.
À droite, pour ces législatives anticipées du 30 juin et du 7 juillet, les arbitrages se jouent du côté des éventuelles alliances « LR-RN », « Ciotti-RN », « LR-Majorité ».
Les divisions entre militants Les Républicains approuvant l’alliance de leur président Éric Ciotti avec l’extrême droite et ceux dénonçant une ligne infranchissable sont encore vives. Des tractations qu’il sera nécessaire d’abréger, alors que la campagne électorale officielle sera, elle, ouverte lundi 17 juin à minuit.