France - Belgique : la savoureuse anecdote d'Hugo Lloris sur la demi-finale de 2018

À quelques heures du huitième de finale de l'Euro 2024 entre la France et la Belgique, l'ex-capitaine des Bleus Hugo Lloris a confié une savoureuse anecdote au sujet de la demi-finale du Mondial 2018 en Russie.

Hugo Lloris

À quelques heures du huitième de finale de l'Euro 2024 entre la France et la Belgique, l'ex-capitaine des Bleus Hugo Lloris a confié une savoureuse anecdote au sujet de la demi-finale du Mondial 2018 en Russie.

De quoi rappeler de bons souvenirs. Ce lundi 1er juillet, l'équipe de France affronte la Belgique dans le cadre des huitièmes de finale de l'Euro 2024 en Allemagne. Un choc synonyme de remake. Celui de la demi-finale de la Ligue des Nations 2021 remportée par les Bleus à Turin (3-2), mais surtout de la demi-finale de la Coupe du monde 2018 en Russie là aussi glanée par Didier Deschamps et ses hommes (1-0). À quelques heures du coup d'envoi à Düsseldorf, l'ancien capitaine des Tricolores Hugo Lloris est justement revenu auprès du quotidien L'Équipe sur ce dernier carré victorieux.

"C'est nous qui l'avons fait sur le moment"

"On parle des regrets belges mais je pense qu'on avait fait le match parfait, qu'on l'avait contrôlé, a estimé le recordman de sélections (145). Cela a été frustrant pour les Belges, parce que c'était la génération dorée, on la redoutait beaucoup, mais ils se sont cassé les dents sur nous et on a eu les plus grosses occasions car Courtois a été décisif. Je pense qu'ils ont plus de regrets à avoir sur la demi-finale de Ligue des nations que sur celle de Coupe du monde", a ajouté l'actuel gardien de but de Los Angeles.

Interrogé sur le style de jeu prôné lors de ce rendez-vous à Saint-Petersbourg, avec un bloc bas et compact fatal aux Diables Rouges, Hugo Lloris a dégainé une savoureuse anecdote à ce sujet. "Pour être dans la confidence, Didier Deschamps nous reprochera toujours d'avoir défendu trop bas. C'est nous qui l'avons fait sur le moment, c'est Antoine (Griezmann) qui a pris ses responsabilités. Il y a ce rapport de confiance avec le sélectionneur où nous, joueurs, on peut avoir nos ressentis, on s'adapte. On ne pouvait pas leur laisser d'espaces dans le dos. Soit on allait les chercher très haut, soit très bas. Bon, on est restés beaucoup en bloc bas quand même", a terminé par plaisanter le dernier rempart.