Andy Murray ne verra pas le deuxième tour à Melbourne. (Anil Mungal/Aflo/Presse Sports)
Finaliste à cinq reprises à Melbourne, Andy Murray a pris la tempête au premier tour de l’édition 2024. L’Écossais a laissé son adversaire, Tomas Martin Etcheverry, filer vers le deuxième tour (6-4, 6-2, 6-2).
Deux petites heures et puis s’en va. L’Écossais Andy Murray (36 ans), cinq fois finaliste à Melbourne, n’a pas vu le jour lundi, au premier tour de l’Open d’Australie, face à l’Argentin Tomas Martin Etcheverry, tête de série numéro 30 (6-4, 6-2, 6-2).
Fautif à 37 reprises, le 44e joueur mondial n’était pas à l’aise au service (52 % de premières balles) et a subi la foudre de son adversaire sur son deuxième service (seulement 33 % de points remportés). Etcheverry se frottera à Gaël Monfils, facile vainqueur de Yannick Hanfmann (6-4, 6-3, 7-5), au tour suivant.
lire aussi
Toute l’actualité de l’Open d’Australie
News Related-
Foot: Cristiano Ronaldo la joue fair-play en Ligue des champions asiatique
-
A Panmunjom, des soldats nord-coréens munis d'un pistolet après l'annulation de l'accord militaire intercoréen
-
Assurance chômage: les partenaires sociaux ont six mois pour renégocier, notamment sur les seniors
-
«Je ne regardais les réseaux sociaux que 15 minutes par jour»: la méthode d’Ulysse, major à HEC
-
Décarbonation, souveraineté, compétitivité... Macron attendu aux assises de l'économie de la mer à Nantes
-
Sam Bennett, un sprinteur à relancer pour Decathlon-AG2R La Mondiale
-
Burkina Faso: une attaque terroriste d'ampleur vise la ville de Djibo, dans le Sahel
-
VIDÉO. Fair-play, Cristiano Ronaldo obtient un penalty avec Al-Nassr et le fait annuler
-
EXCLU EUROPE 1 - Vieillir à domicile, un luxe de plus en plus coûteux
-
Guerre en Ukraine : quel est le rapport de force avant l’hiver ?
-
Pollution : Pourquoi la qualité de l’air n’est-elle jamais « bonne » en Bretagne ?
-
Ligue des champions. Le PSG qualifié pour les huitièmes de finale de C1 si…
-
Les trois meilleurs sacs banane en 2023
-
Assurance chômage : comment l’État met la pression sur les partenaires sociaux