Lewis Hamilton blâme la Mercedes et ses pneus après les qualifications du GP de Miami

Lewis Hamilton blâme la Mercedes et ses pneus après les qualifications du GP de Miami

Découvrez la réaction de Lewis Hamilton après la course sprint, première des deux courses du Grand Prix de Miami de Formule 1. Il se place 8ème derrière son coéquipier George Russel (7e).

Lewis Hamilton va partir de la 8ème position au Grand Prix de Miami. C’est mieux que lors des qualifications sprint, où il avait fini 12ème sur la grille. Après une bataille acharnée avec Kevin Magnussen dans la sprint, le coureur Mercedes avait dit au revoir au point du Top 8 à cause d’une pénalité. En qualifications, le Britannique avait à cœur de se rattraper, ce qu’il a fait en rentrant en Q3. Mais le pilote Mercedes pensait viser mieux après sa 3ème place en Q2.

“Dans l’ensemble, la journée a été beaucoup plus positive qu’hier. Cela dit, ces pneus sont si sensibles qu’essayer de les faire fonctionner de manière cohérente tour par tour est un défi. La température et l’adhérence de la piste étaient similaires tout au long des qualifications, mais nous avons toujours eu du mal à offrir le potentiel maximal à chaque tour. Nous avons eu un aperçu de ce qui était possible à la fin de la Q2, mais nous n’avons pas pu le faire marcher en Q3. C’est un domaine où nous devons nous améliorer.”

Une période d’exploitation trop courte des gommes tendres

Le septuple champion du monde insiste sur le rôle de la dégradation pneumatique dans cette séance. Une spécificité qui n’est pas réservée à Mercedes, après les différentes plaintes des pilotes sur le circuit floridien, mais qu’il pense accentuer par les difficultés connues par la monoplace.

“Je pense que nous travaillons dans une minuscule fenêtre de performance des pneus. C’est probablement la chose la plus frustrante. Quand vous regardez en arrière, à l’époque où vous aviez une fenêtre de travail beaucoup plus grande, vous pouviez simplement optimiser l’équilibre et avoir une bonne adhérence tout au long du tour. Ce que je veux dire, c’est que notre voiture a été imprévisible ces dernières années.”

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