"J'étais défoncé, je sortais de prison" : Vincent Shogun révèle être le père d’un enfant non désiré, né “après une soirée"

“J’étais défoncé, je sortais de prison” : Vincent Shogun révèle être le père d’un enfant non désiré, né “après une soirée”

Vincent Shogun a révélé être le père d’un enfant à la suite d’une soirée trop arrosée. Sur Instagram, il explique que cette naissance n’était pas désirée…

“Ne jugez personne”. Vincent Shogun, figure emblématique des Ch’tis s’est livré à coeur ouvert sur son compte Instagram. Après plusieurs rumeurs sur les réseaux sociaux, le jeune homme a été contraint de faire des révélations. Il a alors expliqué qu’il était le père d’un enfant de 3 ans avec une jeune femme inconnue du grand public, avant de dénoncer le comportement de certains. “Des personnes s’amusent à vouloir rendre public pour faire du mal et n’ont pas respecté nos choix. Ni à elle ni à moi. Nous avons été contraints tous de s’exprimer.”, a-t-il expliqué sur les réseaux sociaux. L’ancien candidat de télé-réalité prévient ses détracteurs, “arrêtez de jouer et de rigoler la-dessus, car c’est pitoyable”. En juillet 2019, Vincent Shogun est confronté à une vraie descente aux enfers. Il est arrêté pour possession de stupéfiants et écope à 28 jours de prison.

Vincent Shogun passe aux aveux : “J’étais complètement défoncé, je sortais de prison”

Vincent Shogun sortait tout juste de prison. C’est dans ce contexte qu’il devient père d’un enfant à la suite d’une soirée trop arrosée. “Elle a décidé toute seule de garder cet enfant en sachant que je ne voulais pas, qu’il n’était pas désiré, né à la suite d’une soirée. J’étais complètement défoncé, je sortais de prison, je l’ai vécu comme un enfant dans le dos… J’étais K.O”, a-t-il évoqué. Cet enfant n’était pas désiré par Vincent Shogun, mais uniquement par la maman. “La naissance d’un enfant, ça se désire et ça se décide à deux. Seulement, il arrive que ce choix soit impossible. La femme dispose d’un atout maître, ce corps capable de fabriquer la vie, ce qui est merveilleux à mes yeux, mais que faire face à un tel pouvoir ?”

“Je ne l’ai pas obligée à avorter”

Vincent Shogun ne souhaitait pas devenir père avec sa partenaire. “On n’impose pas la paternité à qui que ce soit surtout lorsqu’on fait confiance à sa partenaire sexuellement parlant.” Il était confronté à un autre souci : la jeune femme avait des soucis de santé. “Je ne l’ai pas obligée à avorter car elle avait des soucis de santé et il était trop tard. Elle l’aurait gardé parce qu’elle voulait élever seule et être maman.” Malgré cette décision, Vincent Shogun a mis du temps avant de digérer cette affaire. “Je me suis senti manipulé, j’avais de la haine.”

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