Christophe : pourquoi il a toujours refusé de reconnaître Romain, le fils qu'il aurait eu avec Michèle Torr

Romain, le fils de Michèle Torr, s’est battu toute sa vie pour que le chanteur Christophe le reconnaisse comme son enfant. En 2012, le chanteur avait révélé la raison pour laquelle il a toujours refusé de le faire.

Le 16 avril 2020, Christophe nous quittait à l’âge de 74 ans. Initialement hospitalisé en raison d’un emphysème, le chanteur avait été annoncé mort quelques jours plus tard, emporté par le coronavirus. Une tragédie pour ses fans mais surtout pour ses proches, dont sa veuve Véronique Bévilacqua. En couple depuis 1971, ils n’imaginaient la vie l’un sans l’autre. Mais cette belle relation a aussi connu quelques remous, notamment en raison de Michèle Torr, l’ex-compagne du chanteur décédé.

Cette dernière l’a toujours affirmé : ils auraient eu une aventure dont serait né un enfant, Romain, le 16 juin 1967. Si ce dernier a déjà été en contact avec Christophe, qu’il a rencontré à plusieurs reprises, il n’a jamais reçu l’amour d’un père pour son fils puisque l’interprète d’Aline n’a jamais voulu le reconnaître comme son enfant. Pour quelle raison ? Le chanteur s’en était expliqué en 2012, dans les colonnes du magazine Brain.

Christophe agacé par une phrase de son producteur

A l’époque, Daniel Bevilacqua, de son vrai nom, avait révélé être resté en très mauvais termes avec Michèle Torr. Sans en dévoiler la raison, il avait expliqué s’être fâché avec cette dernière sur la fin de leur relation. “Avec Michèle Torr, c’était une histoire très, très, très particulière. […] J’étais complètement en froid avec Michèle, il y a eu des trucs intimes qui ne regardent qu’elle et moi. Il y avait une espèce de haine “, avait-il concédé. Mais c’est pour une autre raison qu’il a refusé de reconnaître l’enfant qu’ils auraient eu ensemble.

En réalité, c’est une tierce personne, leur producteur de l’époque Jean-François Maurice, qui aurait envenimé la situation en forçant la main du chanteur. “Je suis allée voir Michèle à l’hôpital, j’en avais envie. J’ai laissé parler mon instinct, mon émotionnel. Et ce mec m’a dit : ‘faut que t’ailles le reconnaître’. S’il n’y avait pas eu l’agression de ce mec, j’aurais analysé différemment, d’une manière totalement personnelle et peut-être que l’enfant porterait mon nom”, avait expliqué Christophe. Une injonction qui a tout fait basculer…

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