Mademoiselle Holmes : "C'est un malade mental !" Lola Dewaere raconte ses déconvenues avec le violon de son personnage

Mademoiselle Holmes : “C’est un malade mental !” Lola Dewaere raconte ses déconvenues avec le violon de son personnage

TF1 lance une nouvelle série ce jeudi 11 avril à partir de 21h10 : Mademoiselle Holmes. Portée par Lola Dewaere et Tom Villa, cette comédie policière inédite nous plonge dans une revisite de l’univers du célèbre Sherlock Holmes à travers sa descendance.

Ce jeudi 11 avril, vous pourrez découvrir les deux premiers épisodes inédits de Mademoiselle Holmes sur TF1 (notre avis). Cette série policière réunit au casting Lola Dewaere (Charlie Holmes) qui a des points communs avec son personnage, Tom Villa (Samy Vatel), Daniel Prevost (George Holmes), Thomas Jouannet (Chris Hervieu), ou encore Alika Del Sol (Florence Billon). Cette comédie tourne autour du personnage de Charlie Holmes, descendante du célèbre Sherlock. Elle a à cœur de résoudre des enquêtes sur le terrain, et va peu à peu y arriver en binôme avec Samy, jeune médecin légiste en stage.

Mademoiselle Holmes : ce qui vous attend ce jeudi 11 avril

Dans les deux premiers épisodes de Mademoiselle Holmes, vous ferez connaissance avec Charlie Holmes, une jeune femme vivant avec son grand-père George, tous deux descendants de Sherlock Holmes. Cette dernière travaille à recueillir les plaintes dans un commissariat où elle n’est pas prise très au sérieux. Mais un jour, après avoir été renversée par une voiture, elle décide de ne plus prendre ses médicaments et commence à devenir de plus en plus perspicace pour mener des enquêtes. Ce qui ne plaît pas à tout le monde…

Mademoiselle Holmes : Lola Dewaere joue-t-elle vraiment du violon ?

Parmi les attributs que Charlie reprend de son fameux ancêtre, elle joue du violon, ce qui l’aide à se concentrer. Mais la comédienne Lola Dewaere joue-t-elle vraiment du violon ? “J’ai pris quelques cours. J’ai des bases de piano mais le violon m’était complètement inconnu”, a expliqué l’actrice à TF1. Et d’ajouter : “Je ne sais pas qui a inventé cet instrument mais c’est un malade mental… C’est hyper difficile ! En plus, le morceau de musique sur lequel mon personnage a des réminiscences est très rapide, presque comme du folklore irlandais. J’ai travaillé mais il faut croire que je ne suis pas douée !” Heureusement la magie du cinéma fait son effet : “Au final, les monteurs s’en sont très bien sortis : on a vraiment l’impression que je joue bien !”

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