En couple durant plus de dix ans avec Tony Gallopin, Marion Rousse partage la vie de Julian Alaphilippe depuis 2010.
Alors qu’il espérait profiter de ce début de saison pour retrouver de sa superbe, Julian Alaphilippe en a été quitte pour une nouvelle désillusion. Si son Top 10 sur Milan-San Remo avait été porteur d’espoir, il est totalement passé au travers lors des classiques flandriennes, dont il avait fait son principal objectif de ce début de saison. Mais le leader de la Quick-Step avait une (très) bonne excuse: depuis sa lourde chute sur les Strade Bianche, le Français court avec une fracture au genou.
«Â J’étais super motivé pour les flandriennes. C’était une période que j’attendais avec impatience, pour laquelle j’avais beaucoup travaillé. Ça avait plutôt bien commencé, je me sentais super bien aux Strade Bianche jusqu’à ce que je tombe. La chute m’a bien sonné », a-t-il expliqué dans les colonnes de L’Equipe pour justifier sa décision de continuer à courir malgré sa blessure, ajoutant: « Je n’avais pas envie de manquer les flandriennes. Le Tour des Flandres, j’ai toujours des images dans la tête qui me donne la rage. Mais mon erreur est là , mon envie de bien faire a pris le dessus et ce n’était pas raisonnable. »
“Où est l’intérêt ?”
Dépité par les critiques et toutes les histoires autour de son nom, que ce soit pour ses chutes à répétition ou les attaques de Patrick Lefévère, Julian Alaphilippe a pris une décision radicale: couper les réseaux sociaux. « Cela fait un petit moment que je n’y vais plus, même si je n’ai jamais été un grand fan. Mais quand tu es occupé à penser à toi et à ta famille, franchement tu n’y vas plus trop. Où est l’intérêt ? », a-t-il confié au Parisien, reconnaissant avoir passé par des moments difficiles: « Je pense qu’il y a eu pas mal de câbles de pétés. »
Et depuis le Tour des Flandres, le natif de Saint-Amand-Montrond se ressource. « J’ai coupé complètement, j’avais même prévu de partir en altitude pendant deux semaines et demie, j’ai annulé. Je veux vraiment essayer de me ressourcer, de profiter de mon fils, de m’entraîner comme je l’ai toujours fait, à l’ancienne. C’est peut-être ce dont j’avais besoin, je n’ai pas vu le jour depuis le début de saison, je n’ai pas souvent été à la maison, j’ai enchaîné beaucoup de stages, de couses, qui en plus ne se sont pas passées comme on voulait », a-t-il expliqué, insistant: « L’équipe m’a fortement déconseillé d’aller en altitude pour recharger les batteries psychologiquement. »
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